Foto: Figueira da Foz (Junho de 2008)
Je veux écrire tes douleurs
Dessiner ta solitude
Griffonner tes angoisses
Utiliser tes larmes
Et remplir l'imense vide
Imprimé dans ces feuilles froides
Je veux ouvrir les lettres fermées
Étouffées dans ton coeur
Et les ouvrir calmement,
Je veux les voir heureuses
En s'approchant, en souriant, en pleurent...
Je veux la vie naître
Dans ces confuses formes
Tantôt légères, tantôt forts, vont se poser
Inconséquents dans une place quelconque.
Je veux tes douleurs, angoisses, solitude, larmes
Transformées dans un immense dessin vivant,
Avec tous les vides remplis.
Et te retourner le plaisir du sourire.
Dessiner ta solitude
Griffonner tes angoisses
Utiliser tes larmes
Et remplir l'imense vide
Imprimé dans ces feuilles froides
Je veux ouvrir les lettres fermées
Étouffées dans ton coeur
Et les ouvrir calmement,
Je veux les voir heureuses
En s'approchant, en souriant, en pleurent...
Je veux la vie naître
Dans ces confuses formes
Tantôt légères, tantôt forts, vont se poser
Inconséquents dans une place quelconque.
Je veux tes douleurs, angoisses, solitude, larmes
Transformées dans un immense dessin vivant,
Avec tous les vides remplis.
Et te retourner le plaisir du sourire.
(Auteur inconnu, mais de toute façon, c'est beau hein ?)
Um comentário:
En effet, il est trés beau ce poeme, pourtant, on pourait dire que se n'est qu'à la fin du poeme que l'poet (ou l'artist) décide de transformer toutes les malaises, peintes et écrites, en bonheur.
...e diz ele que ainda é bilingue em Francês.
Obrigado pela visita e pelo link para o "velocidade DE cruzeiro"
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